Le calme pesait lourdement dans l’horlogerie abandonnée, rien que géné par le tic-tac varié des horloges accrochées aux murs. Étienne avançait mollement entre les étagères recouvertes de poussière, adoptant chaque cadran, tout engrenage figé ou en mouvement. Ici, le temps ne suivait plus une seule navigation. Il se fragmentait, s’étirait, https://robertl900tnf3.topbloghub.com/profile