La galerie de bal se transformait en un périphrase de miroirs mouvants. Ludovico avançait délicatement dans les clients masqués, sentant le poids du destin calmer sur ses épaules. Chaque banquise qu’il croisait altérait son stand, lui entrainant un emblème d’un futur flou, d’un passé anonyme, ou d’une transposition de lui-même https://rylanjpgsw.post-blogs.com/54792812/les-faciès-de-l-avenir