Dans l’enceinte parfaitement hermétique du centre d’appels, les opérateurs continuaient à répondre aux sollicitations anonymes, bercés par le rythme monotone de leurs shifts, l’esprit oscillant entre réflexion intérieure et dénuement diffus. Chaque voyant recevait des flux sensoriels à travers une interface adaptative, ajustée à son profil mentale. Aucun contact visuel, https://jaidenucghh.p2blogs.com/32890499/le-foyer-d-appels-des-disparus